Articles sur le sujet: Actualités



coronavirus les conseils utiles

Bonsoir,

1) Concernant le coronavirus, des précisions sur les conseils utiles et pratiques pour optimiser sa sécurité: 
- comment faire ses courses?
- que faire en rentrant des courses?

Virus Sars-CoV-2 : les règles à respecter au supermarché

Si vous pouvez toujours commander vos courses sur certains sites internet tel que Leclerc, Carrefour et d'autres, certains préfèrent se rendre eux-mêmes sur place. La prudence est de mise. En plus des gestes barrière comme se laver les mains très fréquemment ou tousser dans le pli de son coude, il est essentiel de prendre certaines précautions en cas de sortie au supermarché, à savoir :

  • se rendre au supermarché aux heures les moins fréquentées
  • amener son porte sac de course ou son propre caddie
  • respecter une distance de sécurité d’au minimum 1,5 mètres avec les autres
  • utiliser du gel hydro-alcoolique régulièrement
  • ne pas toucher son visage avec ses mains

Quid du port des gants au supermarché ? Les experts ne recommandent pas forcément d’en porter. "Le gant fonctionne comme une deuxième peau, si j’ai un contact avec le virus, je vais garder mes gants jusqu’à ce que je les retire en arrivant chez moi… Je vais disséminer le virus de la même façon que mains nues", explique Bruno Grandbastien, président de la Société française d’hygiène hospitalière, au Monde. Il en va de même avec les masques.

Si ces accessoires vous rassurent, vous pouvez néanmoins les porter. Mais ils ne dispensent pas des gestes d'hygiène et de sécurité précédemment évoqués.

Coronavirus : les précautions à prendre en rentrant des courses

Pour éviter l’éventuelle contamination de son intérieur en rentrant chez soi avec ses sacs de courses, il est recommandé de :

  • poser ses courses au sol, et non pas sur le plan de travail de la cuisine ou sur la table de la salle à manger ;
  • se laver minutieusement les mains avec de l’eau et du savon dès que l’on franchi le pas de la porte ;
  • retirer tous les emballages non nécessaires et les jeter immédiatement ;
  • désinfecter les emballages qu’il n’est pas possible de retirer comme les pots de yaourt par exemple ;
  • rincer minutieusement les aliments qui peuvent l’être, comme les fruits et les légumes, car d'autres clients ont pu les toucher ;
  • passer au four les aliments qui peuvent l’être comme le pain, car un "traitement thermique à 63°C pendant 4 min permet de diviser par 10 000 la contamination d’un produit alimentaire"peut-on lire sur le site de l’Anses.

La chaleur tue le virus, l’usage d’un sèche-cheveux  sur des gants en tissus ou un masque ou le repassage peut tuer les virus .
Pensez dès que vous avez des symptômes rhino-pharyngés à faire une inhalation.


2) En complément , un article  que tout le monde devrait lire: c'est très bien écrit et
vraiment pertinent.

http://jdmichel.blog.tdg.ch/archive/2020/03/18/covid-19-fin-de-partie-305096.html

BK ( source de Bernard KUBALA pharmacien faculté de Pharmacie Strasbourg)




suite...
0 commentaires ?

11 Vaccins Obligatoires en 2018

 

La liste des onze vaccins obligatoires

 
 
 

Actuellement, l’obligation concerne les vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP).

S’y ajouteront ceux contre l’haemophilius influenza B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), la coqueluche, l’hépatite B, la rougeole, les oreillons, la rubéole, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites) et le pneumocoque (bactérie provoquant des pneumopathies et des méningites).


Vaccins obligatoires : ce qui va changer

À partir de 2018, les enfants de moins de deux ans devront être vaccinés contre onze maladies. Les vaccins seront remboursés intégralement.

 
Le coût pour la Sécurité sociale est de l’ordre de 10 à 20 millions d’euros, selon la ministre de la Santé, Agnès Buzyn. Photo AFP
 

En 2018, les tout-petits devront obligatoirement être vaccinés contre onze maladies. Aujourd’hui, l’obligation ne concerne que trois vaccins, les huit autres étant seulement recommandés.

Qui est concerné ?

Les enfants de moins de deux ans sont concernés par l’extension de la vaccination obligatoire.

Combien d’injections ?

Passer de trois à onze vaccins obligatoires représente 10 injections pour les enfants, étalées sur deux ans. Au moins 70 % des enfants ont déjà ces 10 injections sur deux ans, et 80 % plus d’injections, car ils font déjà les vaccins recommandés.

Quand ?

La ministre prévoit un texte précisant les modalités et le calendrier à la fin de l’année pour une mise en place de l’obligation en 2018.

Combien ça va coûter ?

Les onze vaccins seront pris en charge à 100 % : 65 % par la sécurité sociale, 35 % par les complémentaires santé qui proposent un « contrat responsable ». La ministre réfléchit aux modalités de prise en charge intégrale pour les patients ne disposant pas de mutuelles. L’objectif est que le patient n’ait rien à payer quelle que soit sa situation.

Le coût de l’extension de la vaccination est estimé entre 10 et 20 millions d’euros pour l’Assurance maladie, selon Agnès Buzyn, la ministre de la santé.

Quelles sanctions ?

Le non-respect de la vaccination est passible de six mois d’emprisonnement et de 3750 euros d’amende. « En France, ces sanctions ne sont quasiment jamais appliquées » , observe la ministre, qui préfère des mesures de pédagogie à des pénalités. Elle travaille à des mesures d’accompagnement pour convaincre les familles de l’utilité de la vaccination. « Les vaccins sont des produits sûrs. Ils peuvent parfois avoir des effets indésirables, mais le risque est bien plus important à ne pas être vacciné. Nous n’avons pas assez expliqué le bien-fondé de la vaccination, d’où la défiance que l’on constate » , plaide Agnès Buzyn.

La liste peut-elle évoluer ?

Un rendez-vous annuel sera organisé pour faire l’état de la vaccination en France. Ce sera l’occasion de voir la progression de la couverture vaccinale mais aussi de revoir éventuellement la liste des vaccins obligatoires.

(sources l'Alsace)

suite...
0 commentaires ?

Tiers Payant contre Génériques

Tiers-payant  Contre Génériques

Tiers-payant  Contre Génériques

Aujourd’hui, votre pharmacien n’est autorisé à vous faire bénéficier du tiers-payant que dans le cas ou vous acceptez qu’il vous délivre des médicaments génériques à la place des médicaments de marque indiqués sur votre ordonnance.
Ce dispositif vous concerne même si vous bénéficiez de la CMU et/ou de la CMUC,
même si vous êtes pris en charge au titre d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle ou si vous êtes en affection de longue durée.
Il s’applique uniquement aux médicaments qui disposent d’un générique.

Dans quels cas dois-je payer mes médicaments chez mon pharmacien ?
Tout dépendra de mon choix. Si je choisis qu’il me délivre des génériques, je serai dispensé de l’avance des frais .
Si je refuse le médicament générique, je devrai régler mes médicaments. Je pourrai ensuite me faire rembourser auprès de ma caisse d’Assurance Maladie en lui adressant la feuille de soins que mon pharmacien m’aura remise

Le médicament générique est-il moins sur que le médicament de marque ?
Les médicaments génériques sont soumis aux mêmes contrôles que les médicaments de marque. Les critères de qualité et de sécurité sont respectés et totalement garantis. Même si la couleur, la forme et l’emballage changent, le principe actif à l’origine de l’efficacité du médicament reste strictement identique

 

INFO FLASH

 La Commission Paritaire Régionale d'Alsace et la Commission Paritaire Locale des Pharmaciens du Bas-Rhin, prévues par la nouvelle Convention Nationale, ont été mises en place ce jeudi 12 juillet 2012.

A cette occasion, les CPAM du Haut-Rhin et du Bas-Rhin ont présenté le renforcement du dispositif tiers-payant contre génériques entériné par la Commission Paritaire Nationale du 06 juin 2012, dispositif qui concerne tous les Pharmaciens sans exception.

Le principe en est simple et clair :

- Application stricte du dispositif (seules les dérogations légales seront admises, à savoir les dérivés de la Thyroxyne, le Fentanyl, les antiépilleptiques et la mention non substituable correctement libellée).

- Seule la mention << non substituable >> manuscrite et en toutes lettres est acceptée.

- Cette mention doit être inscrite en regard de chaque médicament concerné et en aucun cas pour toute l'ordonnance.

- En cas de refus du patient, retour à la facturation papier sur volet brun Cerfa assorti de la mention << refus du générique >>.

- Le patient collera la vignette et enverra la feuille à la Caisse dont il dépend.

Remarques:

● Le principe d'une double facturation a été retenu :

- Le tiers-payant s'applique sur toute la partie conforme de l'ordonnance.

- Le dispositif papier ne s'applique que sur la ou les lignes non conformes à l'accord.

- La télétransmission de factures payantes non conformes est proscrite et sera décomptée dans l'application d'éventuelles sanctions individuelles.

● Les médicaments sous TFR et les médicaments dont le prix du princeps est égal à celui du générique sont exclus du dispositif.

● Les médicaments à base de Buprénorphine sont inclus dans le dispositif.

● La mesure s'applique à toute la population y compris les CMU, ALD, etc...

● La mesure s'applique également aux personnes de plus de 75 ans pour lesquelles une mesure supplémentaire est prévue afin qu'elles soient garanties que le même générique leur soit délivré au fil du temps afin d'éviter les confusions.

● La mention APNS n’a pas lieu d’être

TOUTE CONVENTION OU TOUT ACCORD LOCAL PRECEDEMMENT EN VIGUEUR SONT CADUCS

Ces mesures sont applicables immédiatement, néanmoins nous avons retenu la date du LUNDI 16 JUILLET comme date de démarrage pour l'observation du taux de pénétration du générique.

La Convention prévoit également des sanctions afin que tous les pharmaciens appliquent strictement la mesure.

Les récalcitrants se verront convoqués par les Caisses, mis sous surveillance et risqueront des rejets de lots entiers, voire des sanctions conventionnelles.

L'objectif national à atteindre est de 85% de taux de pénétration du générique !

Les médecins sont avertis de la mise en place de la mesure et les récalcitrants seront rappelés à l'ordre afin que les Pharmaciens victimes d'un abus de la mention << non substituable >> ne soient pas pénalisés par les pratiques de ces prescripteurs.

0 commentaires ?